Il poussa un soupir et lut : « Dieu conduit les hommes en eau profonde, non pour les noyer, mais pour les purifier. »
Ramchand eut un grognement méprisant. Oui, bien sûr, pensa-t-il, il Lui arrive de les y laisser si longtemps qu’ils finissent par être aussi fripés et ratatinés que les mains d’une lavandière et ne sont plus bons à rien, ni à personne.
Extrait du livre « Le vendeur de saris » de Rupa Bajwa, page 212.
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